Théorie des couleurs – Printemps (Partie 3)

Quand vous pensez « printemps », que voyez-vous ? La fraîcheur et la couleur ! La nature se réveille d’un long sommeil hivernal. Les jeunes feuilles sont d’un vert clair et le jaune des jonquilles ou le rouge des tulipes sont très intenses. On remarque aussi le blanc ivoire des lilas ou le rose tendre des pommiers et des cerisiers. C’est la profusion de couleurs éclatantes sous le ciel bleu et le soleil chaleureux d’un jaune prédominent.

Toutes les couleurs sont fraîches et lumineuses et tous les mélanges paraissent possibles, toujours dans ces tons chauds et clairs. On dirait que tout est permis et que rien ne semble « heurter » la pureté naturelle et cette beauté exceptionnelle qui n’est possible que sous le soleil du printemps.

La palette des couleurs « printemps » est alors chaude, fraîche et tendre, sur fond jaune. Le blanc ivoire ou le blanc cassé aiment se lier avec du saumon ou de l’orange. Le beige clair, le beige doré ou le chamois par contre, acceptent volontiers le bleu roi et le bleuet ou le bleu marine clair. Le vert du printemps c’est le vrai vert de la pomme verte ou le vert kaki clair ou encore, le vert tendre du tilleul.

En résumé, le printemps aime les tons chauds, vifs, tendres et lumineux, toujours sur un fond jaune. C’est une palette riche qui permet de créer des compositions belles et originales.

Et maintenant à table !

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